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 James Ellroy

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bibiseven

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MessageSujet: James Ellroy   James Ellroy EmptyLun 4 Sep - 15:36

James Ellroy


Biographie:

Il est né le 4 mars 1948 d'un père comptable de 50 ans et d'une mère infirmière d'origine allemande. Ses parents divorcent six ans plus tard. Sa mère obtient la garde du petit. Celui-ci a dix ans, lorsque sa famille emménage dans un quartier populaire de Los Angeles. James est déjà un lecteur fervent de littérature policière. Il aime le poisson, surtout la sardine.

Jean Ellroy, sa mère, est assassinée le 22 juin 1958. L'assassin ne sera jamais arrêté. James est confié à un père bienveillant, mais Ellroy est livré à lui-même. Il sombrera peu à peu dans la délinquance. Il fait la connaissance de Randy Rice en 1961. Ils sont deux petits voyous qui feront les quatre cents coups, partageant leur goût pour les filles et les romans noirs.

James Ellroy se fait renvoyer du collège. Son père, dont la santé se dégrade, oblige Ellroy à s'engager dans l'armée. Ce qu'il fait à contrecœur en 1965. Le père succombera rapidement du cancer. Sa mort marque le début d'une lente descente aux enfers. Ellroy se fait réformer de l'armée, il retrouve son ami Randy et sombre avec lui dans la consommation d'alcool et de drogue.

Ellroy vit plus de dix ans sans domicile, de petits boulots, de larcins, dormant dans les parcs, s'introduisant chez les gens, moins pour cambrioler (il vole des sous-vêtements, de l'alcool, de l'herbe, des cartes de crédit), que pour ressentir le grand frisson, déclarera-t-il plus tard.

En 1975, un abcès au poumon le fait renoncer aux abus de toxiques. Il brise le cercle infernal dans lequel il s'est enfermé. Il devient caddie de golf à Los Angeles et commence une vie plus rangée. En 1978, il s'inspire de son expérience de caddie pour poser la trame de fond d'un premier roman : Brown's Requiem, publié en 1981. Il poursuit avec Clandestin (1982), puis livre sa série des « Lloyd Hopkins » (1984 - 1986), qu'il clôt avant terme, ne publiant que trois livres sur cinq prévus initialement. James Ellroy est à présent l'un des auteurs de roman noir américain les plus populaires. Il a publié plus de quinze romans en vingt ans.

Le style d'Ellroy s'affirme par une inventivité verbale crue et acide, dépeignant avec rudesse les recoins sombres de la société américaine. La littérature noire est un espace critique mis à profit par les auteurs pour développer des mondes ambivalents, des personnages complexes aux moralités floues, des récits politiques et des vues sociologiques. Ellroy ne déroge pas à la règle.

A l'instar d'un Melville retranscrivant le vocabulaire des marins de son époque et l'utilisant dans son Moby Dick, Ellroy reprend avec une précision machiavélique les expressions communes des policiers et de la pègre des années 1950 et 1960. Un travail titanesque enrichi de références scrupuleuses. Il s'intéresse particulièrement aux structures et fonctionnement de l'État et ses pratiques policières. Ses romans revêtent une dimension historique, notamment dans American Tabloid et sa suite.

James Ellroy, au cours de sa carrière, s'est inspiré des pionniers du roman noir tel Raymond Chandler, auteur du Big Sleep, auquel fait écho son Big Nowhere.


Dernière édition par le Lun 4 Sep - 15:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: James Ellroy   James Ellroy EmptyLun 4 Sep - 15:37

Bibliographie:

* 1981 : Brown's Requiem (Avon Editions, New York. Traduction de Freddy Michalski, Éditions Rivages, 1988, Paris )
* 1982 : Clandestin (Avon Editions, New York. Traduction de Freddy Michalski, Éditions Rivages, 1988, Paris )
* 1984 : Lune sanglante (Blood on the Moon) (Mysterious Agence Press et Avon Editions 1985, New York. Traduction de Freddy Michalski, Éditions Rivages, 1987, Paris ) [Trilogie Lloyd Hopkins, I]
* 1984 : À cause de la nuit (Because the Night) [Trilogie Lloyd Hopkins, II]
* 1986 : La Colline aux suicidés (Suicide Hill) [Trilogie Lloyd Hopkins, III]
* 1986 : Un tueur sur la route (Killer on the Road ou Silent Terror)
* 1987 : Le Dahlia noir (The Black Dahlia) [Quatuor de Los Angeles, I]
* 1988 : Le Grand Nulle part (The Big Nowhere) [Quatuor de Los Angeles, II]
* 1990 : L.A. Confidential [Quatuor de Los Angeles, III]
* 1992 : White Jazz [Quatuor de Los Angeles, IV]
* 1994 : Dick Contino's Blues (Hollywood Nocturnes)
* 1995 : American Tabloïd [Underworld USA, I]
* 1996 : Ma part d'ombre (My Dark Places)
* 1999 : Crimes en série (Killer on the Road)
* 2000 : Tijuana mon amour
* 2001 : American Death Trip (The Cold Six Thousand) [Underworld USA, II]
* 2004 : Destination morgue (Destination: Morgue!)
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bibiseven

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MessageSujet: Re: James Ellroy   James Ellroy EmptyLun 4 Sep - 15:38

Quelques oeuvres plus en détails:


"Le Dahlia noir"

James Ellroy 9782869303911

Résumé:

Citation :
Un livre qui mêle une terrible réalité ; la mort d'une jeune femme lors d'un crime horrible, répugnant jamais résolu et la fiction romanesque : le destin de deux amis, deux flics du LAPD enquêtent sur ce crime que d'aucuns qualifieraient de légendaire.

Enquête policière classique et hors norme, longue, difficile cruelle mais également peinture de l’univers de la boxe, de l’amour mais aussi de la perversité et du sadisme le tout dans une Amérique qui n’a d’égalitaire et de fraternelle que sa réputation.

Tout est noir dans le Dahlia : sa couleur de cheveux, ses vêtements, son destin mais aussi l’âme des personnages du livre.

Cette part de noirceur qui sommeille en chacun est ici mise en exergue de façon remarquable. La plupart des personnages du roman ne sont pas des monstres mais tous ont une tache quelque part qui ne s’efface jamais.

Mais cette faute ou ces fautes qui hantent ne sont-elles pas le lot de tous ?



La véritable histoire:

Citation :
Le Dahlia noir (The Black Dahlia) est le surnom qui a été donné à Elizabeth Ann Short et à l'affaire criminelle qui entoure sa mort.

Le corps d'Elizabeth Ann Short a été retrouvé, mutilé, sectionné par le milieu, dans un terrain vague de Los Angeles le 15 janvier 1947. Âgée de 22 ans, Elizabeth Ann Short s'était installée à Hollywood dans le but de devenir actrice. Le crime n'a jamais été élucidé et a, de ce fait, fait l'objet de nombreuses spéculations. Parmi les théories sur l'identité du tueur qui ont fait couler le plus d'encre, on peut citer celle du dernier petit ami en date de Short, celle de Jack Anderson Wilson, celle d'un médecin ou celle d'Orson Welles.

Le surnom de Dahlia noir donné à Elizabeth Short viendrait soit de sa coiffure (ou d'une fleur qu'elle portait dans les cheveux), soit des vêtements noirs qu'elle portait quand elle a été assassinée.

L'avis de quelques internautes:



Exceptionnel
10/10
Un internaute, Clermont Ferrand, le 19 avril 2006

j'ai lu pas mal de polars mais celui ci fait vraiment partie de ceux qui m'ont marqué, sans conteste un des meilleurs que j'ai lu. Le crime assez choquant d'ailleurs, les personnages et le cadre de cette ville Los Angeles ou se déroule tous les romans de Ellroy font de ce roman un livre vraiment génial. J'espère que l'adaptation ciné sera à la hauteur.

incroyable!
10/10
Un internaute, paris, le 9 mars 2006

C'est un roman noir, vraiment noir avec beaucoup de violence, mais aussi beaucoup d'humanité. L'intrigue nous envahit autant qu'elle dévore les personnages. Difficile de lacher le bouquin et difficile de dormir après!

Ce n'est même plus du polar, c'est de la grande littérature
10/10
Un internaute, Paris, le 3 octobre 2005

Des personnages sans illusions sur eux-mêmes, des (faux?) airs de tragédie grecque, un style au cordeau, et un désespoir total... que dire de plus sinon que c'est un grand roman ? En tout cas, depuis que je l'ai lu, j'ai beaucoup de mal avec les polars ordinaires...

Génialement glauque !!!
10/10
barbapapa, compiegne, le 25 avril 2005

C'est vraiment génial, les persos sont attachants bien que tous pervertis...c'est très noir, très très noir !!! Il faut le lire et lire les autres aussi : Le grand nulle part, LA confidential, White Jazz !!

un genre à lui seul
9/10
audrey@voisin.biz, levallois perret, le 13 juillet 2004

où l'on part pour une longue immersion dans l'Amérique cradingue, raciste, violente et puante de l'après guerre, loin très loin des GI au sourire de héros et autres joyeusetés typées "Happy Days"...l'écriture est pointue, aux abords difficilement apréhendables, mais si l'on s'accroche, c'est un genre policier entier que nous fait découvrir ce roman

Bof....
4/10
jef, PARIS, le 10 avril 2004

On m'avait dit "Si tu ne dois en lire qu'un c'est celui là". Je suis trés déçu ...Le roman est trés glauque , les policiers absolument pas crédibles , le style est un peu poussif , bref une bien mauvaise surprise.

Le chef-d'oeuvre du policier
10/10
havok, clichy, le 23 février 2004

Le meilleur livre d'Ellroy sans conteste, bien que la grande majorité de son euvre soit d'une qualité exceptionnelle. Une écriture au couteau, inédite. Un livre dense tant dans l'action que la psychologie. Il y a un avant et un après Ellroy, dans la littérature et dans la vie tout court.

le "apple" du polar !!!
10/10
lpk, strasbourg, le 20 août 2003

Ellroy n'écrit pas. Il incise. Des phrases faites au scalpel, des mots tranchants comme un rasoir. Quand on finit un de ses livres c'est un choc. A chaque page on se prend un crochet du gauche. Alors à la denière page c'est le KO. Ya des mecs ki ont du talent. Pourquoi s'en priver !!!

Un chef-d'oeuvre !
10/10
Jean-Michel TARTAYRE, Toulouse, France, le 15 juin 2003

Elizabeth Short, autrement surnommée « Le Dahlia noir » par un journaliste pour l'habitude qu'elle avait de se vêtir en noir, fut trouvée gisant dans un terrain vague de Los Angeles un matin de janvier 1947, le corps coupé en deux au niveau de la taille et le visage défiguré... Au dire de la presse, l'affaire criminelle la plus célèbre des États-Unis dont l'enquête n'a jamais aboutie : le meurtrier de fait n'a jamais été arrêté ni même identifié. James Ellroy, pour sa part, dans « Le Dahlia noir », résout l'énigme de manière très crédible et dans un style aux phrases précises et ciselées à la façon d'un criminologue. Il met en scène deux anciens boxeurs reconvertis dans les services de police de Los Angeles en tant qu'inspecteurs chargés d'enquêter sur le fameux assassinat... Une histoire où le suspense demeure permanent et qui, longtemps après sa lecture, vous fige encore dans la glace d'un souvenir lié à « l'étrange a-normalité », le propre de tout chef-d'oeuvre.

Absolument fantastique
9/10
Marc-Olivier, Cagnes-sur-Mer, le 12 janvier 2003

Peut-être le meilleur livre de James Ellroy:une enquête tortueuse à souhait,des protagonistes inoubliables,une plongée hallucinante dans une ambiance palpitante...Toi aussi,lecteur,je te souhaite d'être possédé par le Dahlia Noir comme je l'ai été !

Du grand Ellroy
8/10
isagr1@caramail.com, Orleans, le 26 octobre 2001

Certainement un des romans les plus aboutis d'Ellroy. Il réussit même à expliquer pourquoi ce meurtre (un des plus célèbres de LA)n'a jamais été résolu. Un tour de force qu'il fallait oser. Vous ne poserez ce livre que lorsque vous serez parvenu à la fin.

Extraordinaire et déroutant
8/10
Toulouse, le 7 août 2001

Une fois de plus, Ellroy dépeint méticuleusement mais sans en avoir l'air un L.A. déjanté où se croisent des destins sacrifiés. Les héros sombrent peu à peu dans la folie du Dahlia et nous les suivons, avec plaisir et horreur mais sans pouvoir poser le livre avant de connaître l'issue de l'affaire... A croire qu'Ellroy nous hypnotise!
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