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 Bret Easton Ellis

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bibiseven

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MessageSujet: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 7:56

Bret Easton Ellis


Biographie:

Bret Easton Ellis est né en 1964 à Los Angeles, c'est l'ainé d'une famille de trois enfants. Lors de ses études au Bennington College, il débute l'écriture de son premier roman, Moins Que Zéro (Less than Zero) pour un cours d'écriture créative.

La publication de Moins que Zéro en 1985 lance la carrière de BEE et attire l'attention des medias. Son second roman, Les Lois de l'attraction ne reçoit malheureusement pas la même accueil.

En 1990, l'éditeur Simon & Schuster lui offre 300 000 $ d'avance pour son troisième roman : American Psycho. Un an plus tard, devant les protestations et les réprobations des ligues féministes, l'éditeur se retire. Rapidement, Vintage, un autre éditeur reprend le flambeau et publie American Psycho un mois plus tard. La publication d'American Psycho est très controversée. Bret reçoit même plusieurs menaces de mort.

Trois ans plus tard, Zombies, un recueil de nouvelles sur le Los Angeles des années 80 est publié, recueil boudé par les critiques.

En 1999, son 5ème ouvrage est publié. Il s'agit de Glamorama, un roman qui lui a demandé 5 ans d'écriture. Bret retourne alors sous le feux des medias, le livre se placant rapidement au sommet de la liste des best-sellers.

Sexe et violence : Tous les romans de Bret contiennent un nombre plus ou moins important de scènes choquantes de sexe ou de violence (parfois les deux sont très liées). American Psycho est certainement l'un des romans les plus violents de la littérature, il a déjà horrifié et dégoûté un nombre importants de lecteurs à travers le monde. Jusqu'à sa publication, de nombreuses actions avaient été entamées pour interdire le livre de peur de son impact sur les personnes à l'esprit trop sensible ou influencable.
Moins que Zéro présente une génération entière de jeunes (d'Hollywood) qui n'ont aucun respect pour le travail, l'argent ou leurs amis. Le sexe et la violence qui leur sert d'échappatoire ainsi que le jeune âge des protagonistes en font un livre dérangeant.

Zombies et Glamorama suivent les traces des deux premiers bouquins en y ajoutant un nouveau niveau : les années 90.

Le 7 avril 2000 sortait aux Etats-Unis le film American Psycho réalisé par Mary Harron avec Christian Bale dans le rôle de Patrick Bateman. Le film, tout comme le livre dont il est tiré, n'a pas échappé au scandale (voir rubrique sur le film). Il a réalisé plus de 13,5 millions de dollars de recette en 5 semaines d'exploitation aux Etats-Unis (plus de 100 MF de recettes).

Le fait que Bret avait seulement 20 ans lors de l'écriture de Moins que Zéro en fait l'un des écrivains les plus médiatisé depuis 1985. American Psycho est devenu rapidement un best-seller grâce à l'attention porté par les medias bien avant sa publication. Les effets de cette attention a permis au livre de franchir rapidement les barrières des Etats-Unis (pour le plus grand bonheur des, lecteurs que nous sommes).


Dernière édition par le Lun 14 Aoû - 8:39, édité 4 fois
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bibiseven

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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:18

Bibliographie:




"Moins que zéro"

Bret Easton Ellis Bretmoins

Moins que Zéro est un portrait fort et saignant d'une jeune génération qui a expérimenté le sexe et la drogue trop jeune. Le narrateur, Clay, est le fils d'un couple d'Hollywood plus préoccupé par sa carrière que par ses enfants et leurs problèmes. Clay retourne à Los Angeles pour les vacances de Noël, des vacances qui tournent en une orgie de fêtes, de sexe et de drogues. Moins que Zéro est un roman choque qui décrit le nihilisme qui vient avec la jeunesse, l'argent et la négligence des parents.
Acclamé par la critique et défini par le New Yorker comme "un extraordinaire premier roman" a été adapté au cinéma en 1987 (Twentieh Century Fox) avec James Spader et Robert Downey Jr.


Quelques critiques:


manque de talent
0/10
Un internaute, paris, le 18 octobre 2005

il essaye de compenser son manque de talent par des images choc, pitoyable!mais certains prennent cela pour du genie. comme qoui tous les gouts sont dans la nature!

Un peu déçu
6/10
Un internaute, Montréal, Canada, le 8 septembre 2005

Si le style montre les prémisses du génial American Psycho, on s'attend à mieux de cet auteur qui se repète un peu trop dans cette histoire pourtant courte.

Bret Easton Ellis L'UNIQUE
10/10
kirikou26@hotmail.com, tlse, le 26 janvier 2005

LA bibliographie est un chef d'oeuvre pour ceux qui adhèrent à son style ce qui n'est pas évident pour tout le monde mais il sait nous faire penetrer dans son Amerique dépourvue de rêve et de réalisme

Saisissant et agressif.
10/10
shemine53@hotmail.com, Guadeloupe, le 21 janvier 2005

Cru, réaliste et inquiétant. J'ai lu ce livre il y a des années et il reste l'un de mes préférés. Ce n'est pas de la littérature mais il reste poignant de part la simplicité des mots associée à cette agressivité d'impression de vide du personnage. Il remet en question des thèmes qui restent toujours d'actualité, comme la recherche du bonheur qui ne passe pas forcément par la richesse matérielle.

percutant !
10/10
yvbert@hotmail.com, Paris, le 15 septembre 2004

Un style dépouillé mais trés explicite sur un monde étincelant, lisse et sans espoir : l'Amérique du début des années 80. "Los Angeles, ville sans âme, ici tu peux disparaitre sans t'en apercevoir" comme le dit le narrateur plongé dans ses problèmes de drogue, de sexe, son trop plein d'argent et son manque d'amour.Une sorte de zombie qui voit tout mais n'interragit avec rien. A lire si vous aimez le rock !

Difficile à dire
6/10
Un internaute, lille, le 15 septembre 2004

Après la lecture de Moins que zéro, je ne suis pas aussi enthousiaste que je l'aurai espéré. Beaucoup de lecteurs présentent Ellis comme un auteur culte et incontournable. J'avoue que je me suis un peu ennuyé à l'image des personnages qui n'ont rien à se dire et se morfonde d'ennui dans leurs vie de fils à papa de L.A.. Est-ce qu'il faut voir chez Ellis une critique de la société de consommation ou du loisir qui conduit les individus à une certaine apathie et à une conduite amorale? Peut-être. Même si ce roman ne m'a pas autant plu que d'autres roman culte comme "Sur la route" ou "L'Attrape-coeur", j'ai tout de même envie de relire Ellis, ce qui est tout de même le signe que son style ne m'a pas tout à fait déplu.

Un Pur Chef d'Oeuvre!!!!!
10/10
crashdown88@hotmail.com, Paris, le 22 juillet 2003

Moins que Zéro n'est pas un livre comme les autres. On n'en ressort pas indemne.Le Génie de Bret Easton Ellis tient en ce qu'il nous catalpulte dans un univers sombre et malsain mais par lequel on ne peut s'empêcher d'être attiré. Attiré par une description presque olfactive d'un monde qui se résume en un mot "le vide". Une description du vide à tel point parfaite qu'elle en devient passionnante et que l'on ne peut s'en détacher. Réussir le tour de force de banaliser une existence dissolue et malsaine et de surcroit la rendre passionnante ne pouvait conduire qu'à un chef d'oeuvre à la fois terrifiant, magique et donc INOUBLIABLE!!

Impressionant
10/10
eisse, geneve, le 23 juillet 2002

Ce livre est époustouflant, tellement réel, en plus. Ce livre est un chef d'oeuvre, n'ayez pas d'idées préconcues sur Bret Easton Ellis, ce livre est dingue, même si les autres sont discutables, celui ci est complétement génial !

Un livre brillant!
8/10
muthafucka@wanadoo.fr, Paris, France, le 31 janvier 2002

Ellis nous décrit avec brio une jeunesse en mal de sensation forte qui ne sait plus quoi faire pour se divertir. Le personnage principal (18 ans, drogué, bisexuel)est représentatif des personnages Ellisiens et vous divertira assurément. A ne rater sous aucun prétexte!


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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:23

"Les lois de l'attraction"

Bret Easton Ellis Bretlois

"L'auteur de Moins que Zéro décrit dans son second livre une nouvelle descente aux enfers qui se situe dans l'université. Ses héros, des étudiants issus d'une bourgeoisie typée, trempent d'une dérive à l'autre, dans les illusions du sexe et de la drogue, sur un fond de rock... Bret Easton Ellis peint une génération en négatif en montrant les impasses des désirs, des urgences existencielles et des manques. Tout cela au moyen d'une écriture sobre, rapide et brute. La phraséologie de cette décennie contient à elle seule toute une micro-histoire. Une langue."

Patrick Amine, Art Press, 1998


Quelques critiques:


Excitant
9/10
Un internaute, France, le 23 juin 2006

Un livre haletant, plutôt juste et vraiment facile à lire de part la fluidité du style, des dialogues et de son histoire.

Satirique, drôle et pathétique
10/10
Un internaute, manu nouméa, le 15 décembre 2005

Dans ce bouquin les personnages (des étudiants) n'arrivent pas à communiquer, ils veulent apprendre à se connaitre mais ne peuvent pas dans la mesure où chacun envisage l'autre comme une personne qu'il n'est pas et pour rendre encore les choses plus compliquées l'autre est pour lui même sa propre énigme du coup il n'y a pour eux de communautaire que l'illusion d'être ensemble et à travers plusieurs parcours croisés Brett Easton Ellis nous livre le portrait d'une génération au négatif,superficielle ,seule,dingue,plongée dans un environnement absurde ou les évènements s'enchainent de façon décousue et chaotique dans une société fondée sur l'apparence,personne ne connait personne,les désirs font faillite,les projets sont soldés par des fiascos,le destin n'est qu'une somme d'occasions perdues bon c quand même beaucoup mais impossible de ne pas se reconnaitre au moins une fois que ce soit dans l'ambiance médiocre des soirées bidons où tout le monde congédie ses problèmes et son ennui pour faire semblant de s'amuser,l'impasse des plaisirs à outrance,les conversations où tout sonne creux et des personnages pourtant si humains derrière leurs masques , seuls plongés dans une masse anonyme.

a lire et relire
10/10
Un internaute, man's nouméa, le 3 octobre 2005

style concis et brutal ,roman sur le manque de nécessité,l'incompréhension,l'incohérence,l'ennui et la vacuité.a travers un enchassement de scènes vécues en décalage par plusieurs personnages brett easton ellis montre l'aspect fragmentaire et subjectif de la réalité.

Excellent
9/10
Un internaute, Montréal, Canada, le 1 octobre 2005

Lisez Ellis et vous saurez pourquoi Beigbeder est un écrivain raté. Superbement construit, ce livre meilleur que tous ses autres (sauf American Psycho tout de même) nous raconte la vie de plusieurs des protagonistes vus dans ses livres d'après. En plus, Ellis s'essaie (avec assez de réussite) au français (lu en VO).

Grand écrivain mais sujet choquant et déroutant
4/10
julie, nancy, le 10 mars 2005

Le récit depuis le point de vue des personnages est toujours intéressant et fait du lecteur un complice, mais c'est l'histoire qui est choquante et totalement exagérée. c vrai les jeunes se consacrent bcp à la drogue, alcool, sexe... mais quant à avoir une attitude tellement détachée face à l'horreur, le viol, la mort c loin de refléter la réalité de tous les jours et de toute une jeunesse... les lecteurs,les plus jeunes et les adultes (mon prof à la fac) risqueraient de croire que la jeunesse d'aujourd'hui est comme ces protagonistes. A ne pas mettre entre toutes les mains...

Oui mais...
7/10
Matthieu LB, rennes, le 12 juillet 2004

C'est un livre qui se lit avec plaisir, et l'on se prend au jeu des multiperspectives. L'intérêt du roman réside moins dans le sujet que dans la manière qu'à Breast Easton Ellis de rendre compte d'une manière soft de ce qui se traduit d'ordinaire par une écriture plus déchirée. On parlera de blancheur, de maturité d'écriture, ou l'on verra une maîtrise presque trop froide, de la froideur du film Elephant. Nous entrons de plain-pied dans l'ère des apparences ou dans une littérature cinématographique, ou scientifique. Reste à savoir ce qu'il en est du projet kafkaïen : "rendre le négatif, puisque le positif nous est déjà donné".

étonnant!
10/10
Un internaute, saint chamond, le 9 juin 2004

Un livre étonnant qui, à travers différents personnages, aussi différents qu'attachants, décrit une société universitaire décadente. A lire!

Quelle écriture !
10/10
strygesfr@yahoo.fr, Bordeaux, le 8 juin 2004

Après moins que zéro, Brett continue l'introspection de ces jeunes en pleine décadence. Cette fois-ci, il prend comme témoin trois protagonistes totalement différents qui ne font que ce croiser dans ce monde de sexe, drogue, et rock'n'roll. L'écriture et toujours aussi épurée, sincère et sensible.

bière, drogue et sex
8/10
lélio, metz, le 27 juin 2003

Ce livre est un peu trash , c'est un épisode de dawson sous acide ... Ce qui est plutôt bien réussi , c'est le changement de narrateur et donc de point de vue à chaque chapitre. C'est quand même relativement bien écrit , et l'histoire se laisse suivre.

rock'n'roll
9/10
Un internaute, bordeaux, le 25 avril 2003

Grandiose !!! Si je ne me souciais plus de rien, si je n'avais plus rien à perdre... c'est l'état d'esprit de cet excellent bouquin. On suit pendant plus de 300 pages le quotidien de 3 jeunes dont les seules préoccupations sont le sexe, la drogue et la musique. Un livre pas prise de tête qui met une claque dans la ...

Superbe
7/10
Un internaute, Nîmes, le 8 avril 2003

Impressionant de réalisme. Pour ceux qui ont vu le film et qui souhaitent le lire, je le conseille.

Brutal, choquant, tellement bon!
10/10
Un internaute, Nancy France, le 25 mars 2003

Magnifique satire de la société qui se veut si d'actualité qu'on en a froid dans le dos.... La peur du réel, la fuite constante vers un monde imaginaire dans lequel on vit à huit-clos, le manque d'attention aux autres, la recherche instinctive et brute du plaisir..... tous ces thèmes traités avec un style particulier, en se mettant dans la peau de chaque personnage, et sans faire de préambule... Bref, un livre excellent, qui ne se raconte pas, à l'image de cet auteur controversé....


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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:26

"American psycho"

Bret Easton Ellis Bretap

Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant golden-boy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d'une Amérique autosatisfaite où l'argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, American Psycho, qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd'hui un best-seller mondial.


Quelques critiques:

Chef d'oeuvre.
10/10
Julien Mahieu, Caen, le 26 juillet 2006

Excellent livre, du plus grand écrivain américain des années 90 avec Paul Auster. La violence insoutenable face à la déliquescence morale de golden boys obsédé par la perfection. Un pur chef d'oeuvre.

IMPRESSIONNANT
10/10
Un internaute, guadeloupe, le 7 juin 2006

ce livre est vraiment terrible!! je pense que c'est le meilleur que j'ai pu lire! on se place vraiment aux cotés du personnage . j'avou que certaines scenes étaient vraiment trop longues mais pour certaines j'ai du m'arreter quelques instants tellement c'était GLOK!!! je le conseil a tout le monde!!! mais âmes sensibles s'abstenir!!!

ennuyeux
5/10
Un internaute, 94370, le 31 mars 2006

Ce livre ne mérite pas plus de 150 pages. Trop de longueurs, les scènes de violence sont bien, même des fois proche de l'insupportable !!! La fin GLOCK !!! comme le livre

deconcertant, jubilatoire
10/10
Hadrien Susini, Chartres, le 16 mars 2006

Patrick Bateman (le psychopathe) est un martyr moderne, c'est un golden boy. Dans cet univers de surface où personne ne se connait vraiment (le sien), tuer est devenu pour lui une nécessité. Ce livre est un chef d'oeuvre. Les scènes de boucherie sont d'une violence extreme, mais cela n'empeche pas le cynisme et l'ecriture de bret easton ellis de vous faire pisser de rire alors que patrick place les restes de la cervelle de connie dans une coupe en crystal copa. Ce livre réveille la bête humaine qui est en nous pour toutes sortes de fantasmes morbides, certains en auront peur et se sentiront agressé, d'autres vont l'accepter et y prendre un certain plaisir.

Un livre punk!
10/10
Un internaute, paris, le 1 février 2006

American psycho, c'est un livre punk, cynique, subversif, politiquement incorrect (et c'est peu dire!) servi par une écriture brute, spontanée et pourtant très incisive. Enfin une réflexion sur le vide existentiel, l'impossible quête du sens et la névrose humaine. Une véritable expérience où la littérature ne se réduit pas à un simple exercice de style. Il s'agit de vivre nos pulsions les plus sauvages et notre condition tragique d'être humain par la médiation de l'écrit. Un roman cathartique, un chef d'oeuvre!

trop violent!!
10/10
Un internaute, bordeaux, le 13 décembre 2005

La violence fait partie de notre quotidien et nous avons tous notre part de violence en nous, cachée, enfouie.. Mais de grâce pourquoi décrire plusieurs crimes de manière hyper réaliste alors qu"un seul aurait suffit, si ce n'est que pour raccrocher le waggon du tout violent désormais redondant dans tous les films du box office. Remarquable écriture, excellentes réflexions sur la société américaine, mais trop de scènes violentes digne d'un Tarantino... sans l'humour.

Le meilleur livre que j'aie lu..
10/10
Un internaute, 95, le 2 décembre 2005

Je ne laisse jamais de commentaire mais là...c'est mon livret de chevet, de vie et se sera celui de mon cercueil..j'ai lu grâce à lui tous les Bret easton ellis, notamment le cultissime Glamorama..Je n'ai que 19 ans mais sais déjà que la grande passion de ma vie sera l'écriture..à sa façon, concise au possible, sèche, si monstrueuse mais tellement humaine..J'ai envie de gerber quand je vois certaines personnes, envie de les tuer, ou parfois de les embrasser...Ce livre est libérateur de pulsions, pulsions que nous avons tous en nous...J'aime ce livre, tout simplement. Car je l'ai lu comme un livre alors que c'était LE livre, croyez-moi sur parole, lisez-le, svp..

Decevant
5/10
Un internaute, MELUN, le 15 octobre 2005

Ce livre est d'un ennui !!!! il fait 530 pages alors que cent auraient suffi, par contre la violence est superbement décrite et peut faire mal au ventre mais quel intérêt ?

âmes sensibles s'abstenir !!!
10/10
Un internaute, IDF, le 6 août 2005

J'avais 15 ans lorsque j'ai subtilisé ce livre à mes parents et tenté de le lire pour la première fois. A 45, je ne peux toujours pas le terminer. L'auteur nous plonge avec brio dans un univers de violence gratuite difficilement supportable tant il semble réaliste. Je recommande à ceux et celles, tentés par cette lecture de la tenir hors de portée de leurs ados peut-être habitués à la fiction mais non aux scènes dépeintes par l'auteur avec un réalisme qui fait froid dans le dos.
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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:32

"Zombies"

Bret Easton Ellis Bretzombies

"Les Trois meilleurs écrivains américains vivants sont Bret Easton Ellis, Bret Easton Ellis et Bret Easton Ellis. Tous les autres donnent sommeil (...). On lui reproche de ne parler que de sexe, de violence et de fric, mais c'est l'Amérique qu'il décrit - le pays qui mélange ces trois ingrédients. Dans Zombies, son quatrième livre, il enfonce le clou. On retrouve ses héros superficiels qui hésitent entre se tuer, regarder MTV ou reprendre un Valium (...). C'est un livre incroyable. Ellis fait précisément à la littérature ce que Basquiat a fait à la peinture : la réveiller." - Frédéric Beigbeder, Elle

Traduit de l'américain par Bernard Willerval

L’univers de BEE est composé de strates récurrentes. Tous ses personnages sont jeunes, beaux riches camés et damnés. Zombies ne fait pas exception à la règle, son monde est celui de " moins que zéro ". La Rome antique en pleine débauche, ou plus exactement le Los Angeles de 1982, juste avant le sida. En ces temps reculés Bryan Metro, la célèbre rock star, peut violer les groupies de son world tour sans se préoccuper de mettre une capote. Et ce qui arrive de pire à Jamie le vampire, c’est de sucer un sang plein de lsd avant de tomber dans les vap’.
Zombies est un livre impressionniste se découpant en treize chapitres. Treize narrateurs différents qui se connaissent tous. Treize récits porte-malheur conclus par Bruce, l’extra-terrestre vieux de 400.000 ans qui détruira la terre au 24e siècle, ainsi qu’il le déclare en visitant... un zoo. BEE l’entomologiste s’interroge. Que se passerait-il si une étudiante de Camden allait passer quelques jours chez ses grand-parents, propriétaires d’un studio de cinéma à Hollywood ? On l’apprend dans les lettres qu’elle adresse à Sean, l’amant invisible, une vieille connaissance des habitués de Bret Easton Ellis. Anne découvre les Mercédès, les vitamines et la coke. Travaille sur des scripts avec le scénariste de Miami Vice. Elle n’a que 20 ans mais prétend en avoir 16, parce que tout le monde a l’air si jeune ici. Heureusement il y a une morale. Elle décide de rester et découvre les vraies valeurs : j’hérite aussi de la Ferrari de Randy , donc tu vois je ne suis pas totalement écervelée ! Et que se passerait-il si une rock star allait au Japon ? elle y importerait son mode de vie. Violer les femmes de chambre, tabasser ses groupies, se bourrer de coke. Et répéter inlassablement au rythme d’une mélopé morbide Je suis Bryan ... tandis que son agent lui rétorque tout aussi inlassablement qu’il n’est qu’une sous-merde. BEE se parodie lui-même. Il est conscient de se répéter et force volontiers le trait. Ainsi l’amarante sèche que croisent les personnages du roman dès les premières pages, et que l’on retrouve tout à fait à la fin du livre sur le chemin d’un crocodile.
Est-ce ainsi que nous voit Bret Easton Ellis ? des prédateurs en cage ? c’est nous faire trop d’honneur.

Robert Laffont 277 pages 129FF


Quelques critiques:

trop méconnu
9/10
sToM, france, le 9 octobre 2003

Dommage que ce livre ne soit pas plus reconnu. Avec Glamorama, c'est tout simplement le meilleur Ellis.

Des nouvelles percutantes...
8/10
Rennes, le 28 mars 2001

Par ce recueil de nouvelles interconnectées, Brett Easton Ellis nous plonge dans un cocktail détonnant de mal-vivre, de drogue, de sexe et d'ultra-égoïsme. Une vision brutale et sombre d'une Amérique décadente. Les américains sont les maîtres du monde ? Cela donne froid dans le dos !
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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:36

"Glamorama"

Bret Easton Ellis 2221089006

Après le yuppie sanguinaire d''American Psycho', les ados névrosés de 'Moins que Zéro' et 'Les Lois de l'attraction', Bret Easton Ellis présente Victor Ward, l'homme qui monte dans les milieux branchés de New York. Jeune mannequin chargé de lancer la nouvelle boîte de nuit à la mode, il côtoie toutes les célébrités de la couture et du cinéma avant de plonger dans une sordide histoire de terrorisme. Naomi Campbell, Calvin Klein, Pedro Almodovar, Bruce Willis, Kate Moss, Johnny Depp et tous les obsédés de l'objectif défilent. Dans le désordre, ce petit monde joyeux tape de la coke, se bourre de vodka et de calmants, s'envoie en l'air dans tous les sens, part en cure de désintoxication, porte du Donna Karan ou du Gucci et s'observe derrière d'incontournables verres fumés.

Quelques critiques:


Mr BEE, mais quelles sont vos intentions?
5/10
Un internaute, Fleury les Aubrais, le 3 mai 2006

Roman jubilatoire mais écoeurant, à la fois ennuyeux et captivant, excellant dans la description de l'horrible, parvenant à cet exploit littéraire de remplir des pages hallucinantes avec exclusivement la vacuité et la vanité de vies désincarnées. Mais le style n'est peut être tout dans une telle oeuvre: BEE moraliste tendance Wasp ou nihliste? Telle est à mon avis la question. Dans le doute, la moyenne donc.

Le meilleur Bret Easton Ellis
10/10
Un internaute, Paris, le 6 avril 2006

Le chef d'oeuvre de BEE, une trame romanesque parfaite. Ce livre est aux années 90, ce qu'était Less Than Zero aux années 80, à la différence près que ce n'est pas un premier roman.

un excellent roman (sans logique)
10/10
Un internaute, paris, le 10 mars 2006

Fidéle à son style perso, BEE nous livre un roman entrainant mais où il ne faut pas chercher à trouver une suite logique dans les évènements. Juste se laisser prendre dans le trourbillon et savourer. Malgré l'épaisseur, ce livre se lit sans fin, et est le fin du fin pour qui sait apprécier. A consommer sans modération, BEE est vraiment un grand auteur du XXI° siècle!

NUL
1/10
CHRISTIAN CHAYA, Grece, le 3 février 2006

Une perte de temps incroyable à lire ce livre qui est superficiel et vide comme son héros. Ces longs enumeratifs de marque de vêtements, chanteurs/groupes à la mode reflètent la fatuité du héros et celle de l'époque qu'Ellis décrit si bien (seul point positif, d'où 1/10). Remboursement, cependant, exigé.

Déçu
5/10
Un internaute, Montréal, Canada, le 20 septembre 2005

Même si quelques scènes sont succulentes, on s'attend à beaucoup mieux par l'auteur du génial American Psycho. Abordable en anglais, ce livre part dans tous les sens, à se demander à quoi carbure cet auteur...

déjanté
8/10
Un internaute, orgeval france, le 3 mai 2005

livre étourdissant plein de rebondissements au fil des pages. Mieux vaut le lire tête reposée pour en apprécier la fin. Tout est délirant et tonique.

Voyeurisme et vulgarité : affligeant
1/10
Un internaute, orléans, france, le 7 février 2005

Ellis fait dans le tranchant, le sanglant, le sordide, le vomissable ... il se complaît dans l'horreur gratuite et dans la chair froide et moche. Son écriture et sa façon de raconter (là ce n'est pas un art) sont aussi superficielles que l'univers qu'il décrit. Hormis un recensement non exhaustif de toutes les marques qu'il faut connaître pour être dans le coup, on n'en retire pas grand-chose, si ce n'est une énorme nausée. Un pour ne pas mettre zéro !

genial
10/10
Un internaute, Dieppe France, le 18 août 2004

Ellis est un génie, un avant gardiste, et nous le prouve encore une fois. On se délecte tout d' abord des 200 premières pages qui nous raconte la vie de tous les jours du héros : un homme superficiel, sur de lui, paumé, pathetique, évoluant dans un milieu rempli de requins : le monde de la "branchitude", et cet homme, V Ward, va d'un seul coup se retrouver dans un monde qu' il croyait etre le sien, mais en découvre le plus abominable : 300 pages de folie, ou Ellis part dans tout un délire où se mélange mode,schizophrénie et terrorisme. Effrayant et jubilatoire a la fois. Du grand, du très grand.

Ellis est un génie
10/10
julien, Caen, le 23 décembre 2003

C'est peut-etre le roman le plus ambitieux de B.E.E. et ce n'est pas le moins reussi. La premiere partie est totalement jubilatoire, Ellis y decrit le milieu de la mode et des boîtes de nuits à New-York avec un humour ravageur. Au fil des pages la pression sur le personnage principal monte jusqu'à l'emmener dans une quête en Europe qui le menera dans le milieu du terrorisme internationale. Le roman devient alors totalement deroutant entre tournage d'un film et identité des personnages très changeantes... Un must à se procurer trés vite qui resonnera longtemps dans votre tete. A noter qu'apres avoir reussi à transposer au cinema "Les lois de l'attraction", Roger Avary s'est deja attaqué à l'adaptation de ce "Glamorama". VERY EXCITING!

Déroutant
6/10
szorzin, draveil, paris, le 12 juin 2003

Déroutant, et décevant. Comme pour American Psych, les deux cents premières pages de ce roman laissent apparaître une certaine forme de génie. Description de la vacuité de ces existences, humour grinçant, c'est un petit bonheur. Mais après? Justifiée dans A. Psycho, la violence, mêlée ici à une étrange histoire de terrorisme (ce qu'est la mode, pour l'auteur), est incompréhensible, plus encore qu'exagérée. Pour Ellis, "la mode et l'éventration ne sont pas si différentes, puisqu'il s'agit de mettre l'intérieur à l'extérieur" (expression d'Eric Loret, journaliste). Mais ici, la satire est trop brutale pour faire mouche. Les motifs récurrents (les confettis, le froid) donnent l'impression d'un serpent qui se mord la queue: définition de la vie pour Ellis, déception pour le lecteur.

Fabuleusement habituel
9/10
mathieu.gp@caramail.com, antibes-France, le 28 juin 2002

J'ai déjà lu tous les livres de B.E Ellis et croyez moi il est ( comme d'habitude ) exceptionnel. Le début du livre est particulièrement marrant et satyrique. La suite est grandiose et percutante. Seule ombre, on ne comprend pas forcément tout en lisant mais le décalage de l'auteur entraîne le lecteur vers une fin palpitante.

Hardcore
10/10
LaforetF@wanadoo.fr, France, le 27 février 2002

Une plongée dans les affres de l'humanité. Soit Ellis est le plus grand soit il est le pire. Il n'est pas aisé d'avoir une opinion tranchée. Il dérange ici en nous offrant des pages parmi les plus terribles jamais écrites. Encore plus tordu et violent qu'"American psycho" au point que personne ne peut sortir indemne de cette lecture.

troublant, palpitant, dérangeant
10/10
carole, paris, le 30 novembre 2001

C le 1er Ellis que j'ai lu et j'ai trouvé cela vraiment génial et particulier. On a hâte de le finir même si le debut ne m'a pas vraiment convaincu : une fois plongé dans l'histoire on n'a plus envie d'en sortir !! EXCELLENTISSIME

grandiose
10/10
mathieu, saint etienne, le 5 septembre 2001

je viens de finir ce livre et je n'ai pas de mots pour le décrire..désolé ! Du grand B.E.Ellis, définitivement

superbement dérangeant
8/10
paris france, le 23 juillet 2001

Un roman qui ne peut laisser de marbre. L'entrée dans le livre est assez difficile, car tout le départ, tout le passage de la mise en route de la boîte de nuit est un peu long, mais après, on découvre cette histoire si hallucinante et palpitante. Une vraie paranoïa...quand on referme ce livre, on se surprend, parfois, à chercher les caméras...

Dérangeant...
4/10
Lille, le 19 juin 2001

C'est le premier Ellis que j'ai lu et j'ai été très étonnée. En effet, j'ai beaucoup entendu parler d'American Psycho lors de la sortie du film et entendu beaucoup de bien concernant Ellis et son oeuvre. J'ai été bien déçue je l'avoue à la lecture de Glamorama qui semblait tout de fois attrayant. Mises à part les scènes de description et de tortures, le livre n'est pas particulièrement choquant à mon avis mais plutôt vide de sens et d'intérêts à mes yeux. Je suis peut être passée totalement à côté du "message" mais cela ne m'a pas particulièrement donné envie de lire les autres romans d'Ellis. L'écriture est assez confuse et on a du mal parfois à situer l'action et à suivre l'histoire, entre autre le déroulement du film auquel semble participer le héros. Ce n'est peut être pas le bon roman pour débuter avec l'univers d'Ellis...
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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyLun 14 Aoû - 8:37

"Lunar Park"

Bret Easton Ellis 9782221104118

Dernier roman de Bret Easton Ellis, Lunar Park nous ouvre les portes d’une écriture que l’on croyait jusqu’ici brillamment glamour et délicieusement accessoire. Après les saisons pseudonymes, voici l’autofiction exubérante à la mode new-yorkaise...

"Je ne veux pas avoir à clarifier ce qui est autobiographique et ce qui l’est moins. Mais c’est de loin le livre le "plus vrai" que j’ai écrit. Au lecteur de décider ce qui, dans Lunar Park, a bien eu lieu". Cette réplique, faussement sentencieuse, achève la quatrième de couverture du dernier roman de BEE et semble venir s’ajouter à la longue liste d’affabulations à laquelle se livre l’auteur des Lois de l’attraction depuis le 20 octobre dernier, date de lancement de Lunar Park. Interview après interview, Ellis se masque derrière de faux personnages, sorte de Mr Hyde exubérant, déclarant tout et son contraire, comme s’il s’agissait de faire de cette promo l’ultime chapitre de la dernière œuvre.

Déjà, la lecture de Glamorama laissait l’étrange impression de l’achèvement d’un cycle commencé vingt ans plus tôt avec le magistral Moins que Zéro. On refermait le livre en se demandant ce qu’Ellis pourrait bien écrire après ça et combien de temps ça lui prendrait. Et dès les premières pages de Lunar Park, l’impression se confirme, le bréviaire continue : ambiances délétères d’une société riche à millions et coulant des jours éteints sous le soleil pâle du Xanax, parties sous cocaïne, assentamentalisme confinant à la catatonie...

(JPEG) Pourtant, le genre est tout autre. BEE se met en scène, enfile les bretelles d’un père de famille rentrant au bercail après avoir goûté aux délices vertigineux de la dope et du succès de salon. Oui, Lunar Park est une autofiction, comme le clame si fièrement Beigbeder qui croit voir là un pont entre la tristesse du fantasme Saint-Germain d’aujourd’hui et cette vraie plume américaine qui ne se contente pas d’elle-même et de la pauvreté stylisée du non-évenement.

Quant à clarifier "ce qui est autobiographique et ce qui l’est moins", on s’y perd moins que promis. Si Lunar Park commence comme le prétentieux CV des frasques d’Ellis depuis sa première publication - long panégyrique sur ses précédents incipit d’une si parfaite simplicité -, on bascule vite dans une fiction échevelée, série d’événements clairement ellisiens : gosses de riches sous calmants, vision d’une réalité tronquée, apparitions/hallucinations, mystère fantastique, considérations envappées sur le monde, Patrick Bateman... Lunar Park est décidément aussi fictionnel que les entretiens de son auteur avec la presse internationale.

La froideur ellisienne
De Lunar Park se dégage, aussi, une sensation d’inconnu littéraire. Avec une froideur extrême, Bret Easton Ellis tente de nous trimbaler dans une parabole gothique tirant sur l’autoapitoiement. Or, on sait l’ineptie de leur monde, cette incommunicabilité crasse issue de leur immense fortune. Ici, le héros s’effondre, se lamente sur ses incapacités, sa vie vouée aux gémonies du glamour, son succès destructeur. Ellis ne ressent rien, ses héros se caparaçonnent dans un exosquelette à vomir et chaussent des lunettes à visée nocturne qui ne laissent entrevoir que les ombres de leur société consommatrice de produits de luxe (pourra-t-on me dire un jour si, en Amérique, existe pour la littérature des agents publicitaire spécialisés dans le placement de produit - auquel cas, les abattis d’Ellis doivent être phénoménaux tant il use et abuse des grandes marques comme autant d’adjectifs).

Mais l’on se trompe. Lunar Park est une complainte, une vraie, tragique et touchante. Celle d’un homme qui arrive en bout de piste avec deux trains d’atterrissage morts. Lunar Park est une lente chute parabolique, usant des codes d’un fantastique à la Stephen King mais retombant sur ses pattes dans une conclusion qui laisse pantois, lacrymal. On ne sait pas s’il s’agit du livre le "plus vrai" de BEE, mais c’est au moins le plus émouvant. Précisément parce qu’il met enfin à poil son personnage et le brûle sur le bûcher des vanités. Après six ans de silence au cours desquels l’école Ellis a fait des petits - Palahniuk ayant pratiquement rattrapé le maître -, ce retour de bâton est saisissant.

Sébastien D. Gendron


Quelques critiques du livre:

ennuyeux et frustrant
3/10
Un internaute, gap, le 10 août 2006

Passées les 25 premières pages, ça démarre assez bien. Puis on attend tout le reste du bouquin qu'il se passe enfin qqe. chose, qui ne vient jamais !!... C'est le genre de lecture qui laisse une curieuse impression brumeuse, une sorte de frustration comme une soirée trop arrosée qui aurait pu mieux tourner !

Delirium tremens !
1/10
Un internaute, Montmorency, le 15 juin 2006

Si vous voulez vivre les délires éthyliques d'un drogué, c'est édifiant! Sinon, quel ennui. Parvenu au tiers du livre, on pense qu'on va déboucher sur quelque chose d'inattendu, et on s'accroche désespérément jusqu'au bout en espérant un rebondissement final qui ne vient pas...

Fascinant
10/10

Un internaute, JPK, à côté de Paris, le 31 mai 2006

Depuis "Moins que zéro" je suis fan. Après American psycho qui dépeint les années fric, après Glamorama qui dénonce lunivers show bizz, on se disait que Mr Ellis aurait du mal à continuer davancer. Et voilà Lunar park, à la fois suite presque logique de son Suvre et en même temps totalement différent, inclassable. Même si lauteur nous prévient au début que tout est vrai, on se rend vite compte que tous les faits sont faux. Mais lessentiel est ailleurs, entre les lignes, entre les mots. Et cest de Bret dont parle Ellis ici, ce qui en fait sûrement son livre le plus émouvant. Dans ce roman, des garçons disparaissent. Après tout, cest ce qui se passe pour nous tous : le garçon que nous étions a aujourdhui disparu. Certains dentre nous lont même totalement oublié. Mais Bret, lui, sen souvient. Il se souvient de son père, de sa difficulté à communiquer avec lui, il se souvient de ses peurs, des monstres cachés sous son lit... Lunar park nest pas une vraie fausse autobiographie, cest la vie... La nôtre.

une merveille...... Wink
10/10

Un internaute, montluçon, le 6 mai 2006

Ce roman que nous offre Bret Easton Ellis est une pure merveille. Une fois qu'on commence ce roman on n'a plus envie de le lacher car on veut absolument connaître la suite. Ellis sait à merveille tenir le fil conducteur et nous faire ressentir la peur, le doute, etc... Un vrai coup de maître!

encore un chef d'oeuvre
8/10

Un internaute, Saint Maur, le 12 avril 2006

Ellis arrive toujours à nous surprendre et à nous mettre mal à l'aise. Choisir un style autobiographique pour écrire une histoire aussi peu réaliste est vraiment un coup de génie. Son style ne s'use décidément pas. Vivement son prochain livre...

Dédoublement psychotique et perte du Père...
8/10

Un internaute, Toulouse, le 20 mars 2006

J'adhère au commentaire de Mme Sagnes. Un roman qui vous transporte dans un univers perturbé et complexe. On ne résiste pas longtemps à Mr B.E.E mais c'est vrai que par moment on reste sur sa faim. Le mélange des genres (fantastique, psychologique, thriller,etc...) - c'est comme une pizza trop chargée - on ne sait plus ce que l'on a mangé. L'impression finale est mitigée : c'est bon, excellent même - mais - est-ce un chef d'oeuvre ? L'ingrédient "fantastique" me semble un rien trop lourd pour cela...

pourquoi autant de pub !
3/10

Un internaute, charente maritime, le 20 mars 2006

Pourquoi autant de publicité pour ce livre ? C'est nul ! j'ai vraiment l'impression d'avoir perdu mon temps car je me suis obligée à le lire jusqu'au bout en espèrant toujours changer d'avis. Peut-être un livre pour intellos que je ne suis pas (ou snob)?Il y a tellement d'autres beaux livres à découvrir !

déroutant et passionnant
9/10

caroline ronget, boissy saint léger, le 16 février 2006

J'ai lu ce livre en trois jours sans le lâcher. Très original, Ellis nous offre là un faux thriller où l'ombre de son père est omniprésente. Très intéressant. Quelle est la part de réalité ? La réponse est en chacun de nous. Bravo Mister Ellis. La fin est tout de même un peu obscure. Mais on pardonne tout à Ellis ! A lire absolument

Moyen
4/10

Un internaute, Ardennes (08), le 30 janvier 2006

Quelque chose qui promet mais qui se dégonfle comme un ballon avec une fin bâclée et risible. Très moyen, finalement.

Complexe
5/10

Un internaute, Drôme, le 29 janvier 2006

Je ne connaissais pas Bret Easton Ellis...mais je suis curieuse... Je reconnais le talent de cet auteur tourmenté. Cette histoire est parfois un peu embrouillée, comme son auteur-héros mais on a envie de poursuivre d'en connaître l'aboutissement... et c'est l'essentiel!

Le summum de Bret
10/10

Un internaute, st maur, le 22 janvier 2006

Un livre grandiose, impossible de passer à coté!! Bret Easton Ellis est un génie de la littérature américaine.Il nous offre ds ce livre une vision très réaliste de l'Amèrique post 11septembre, merci Bret. L'auteur nous dévoile un nouveau côté de son talent. A LIRE!

magistral
10/10

Un internaute, lyon, le 18 janvier 2006

Expérience unique et déroutante à travers cette oeuvre d'un genre nouveau! Ellis nous emprisonne dans son personnage, dans cet inquiétant cauchemar sans fin. Contrairement à ce qui a été écrit dans certains commentaires, je pense qu'on peut tout à fait apprécier lunar park sans connaissance aucune de ses autres oeuvres, j'en témoigne! Et maintenant, American Psycho...

Très déçu
3/10

Un internaute, Canada, le 15 janvier 2006

Après Houellebecq, Ellis : l'année 2005 nous a offert les deux pires livres de ces deux bons écrivains contemporains. Jamais drôle, histoire chiante, on se demande ou est passé le cynisme grinçant de Less than zero, Rules of attraction, American Psycho ou The informers ? Je pense même que Lunar Park est pire que Glamorama, c'est dire...

Entre deux vapeurs alcoolisées
8/10

sylvie sagnes, Reims, France, le 15 janvier 2006

Il me manque sûrement des clefs pour appréhender Bret Easton Ellis. Il est indéniable qu'il y a un réel talent d'écriture et de construction dans ce roman, des petits clins d'oeil du côté de Somoza ou King. Son oeuvre antérieure, largement évoquée tout au long du livre, m'a aussi sans doute manquée pour réaliser à quel point il revenait aux sources. ] Explorer ce genre de violence avait été "intéressant" et "excitant" et tout était "métaphorique" de toute façon - du moins pour moi à ce moment de ma vie, quand j'étais jeune et furieux et que je n'avais pas pris conscience de ma propre mortalité, à une époque où la douleur physique et la souffrance réelle n'avaient pas le moindre sens pour moi. J'étais dans la "transgression" et le livre était surtout consacré au "style" [ Mais certaines scènes m'ont gênée par leur sentimentalisme débridé, sans que je puisse discerner avec certitude s'il fallait les prendre au 1er ou au second degré. Et la toute fin m'a carrément déçue, la partie "vif du sujet" me semblant quand même vraiment trop "grosse". Je suis donc mitigée face à ce roman dont j'attendais beaucoup et qui a été élu meilleur livre de l'année 2005 par le magazine Lire. Par contre j'ai bien envie quand même de lire le reste de la production de Mister Ellis.

Un livre envoutant
10/10

Un internaute, Paris, le 6 janvier 2006

Comment ne pas être happé dès cette fabuleuse introduction... et dire que ce n'est que le début car ce qui suit, "Lunar Park" en somme, est une expérience renversante ! Ce livre m'a possédé jusqu'à la fin. Un flip intégral de 400 pages...j'en veux encore !!! Quel trip ! Merci Bret Easton Ellis une petite note en passant : je conseille tout de même la lecture des précédents livres avant de s'attaquer à Lunar Park, vous n'apprécierez que mieux ce livre ! (en fait je ne vois même pas comment l'apprécier sans s'être imprégné de l'univers Ellis au préalable)

Un livre d'exception
10/10

Un internaute, France, le 28 décembre 2005

Avant de lire Lunar Park, j'adorais Bret Easton Ellis (surtout pour Les lois de l'attraction et Glamorama (je n'ai pas encore pu lire American Psycho)), maintenant, c'est-à-dire, après avoir lu Lunar Park, je dois dire que cet écrivain est vraiment le maître! Les dernières pages du romans sont vraiment émouvantes et très maîtrisées. Il mérite entièrement le titre du mailleur livre de l'année 2005 dans le classement publié par le magasine Lire. Bravo Mr Ellis et merci du fond du coeur pour un roman aussi exceptionnel qu'est Lunar Park.

Quelle claque...
10/10

JEROME PASCO, CONCHES, le 27 décembre 2005

L'écriture de Bret Easton Ellis est vertigineuse. Dès les premières lignes, on est aspiré...aspiré par une véritable frénésie de mots, d'idées, de scènes cultes... Rien ne peut décrire ce sentiment incroyable d'être posséder par un bouquin, seul Easton Ellis en a le pouvoir... C'est un auteur dangereusement doué qui joue avec le lecteur comme jamais. Lunar Park est une énorme claque.

le meilleur
10/10

Un internaute, Nantes, le 20 décembre 2005

Sans doute le meilleur ouvrage et le plus surprenant. Exercice à haut risque, il se penche sur sa vie, ses personnages, ses livres... sans totalement quitter ses univers éthyliques et chimiques, il réalise une oeuvre introspective sur sa condition d'écrivain et en profite pour nous emmener vers de nouveaux territoires.

Un chef-d'oeuvre
10/10

OLIVIER RANSON, boulogne-billancourt, le 29 novembre 2005

Le meilleur livre de Bret ! Il y mélange biographie, réalité, fiction, surnaturel, polar, tendresse et aussi poésie ! Un régal jusqu'à la fin !

coup de maître
10/10

François Léonard, Thinville, le 14 novembre 2005

Avec une persuasion littéraire totalement maîtrisée, BEE nous mène dans son univers situé entre paranoia chimique et science-fiction. Dans la lignée de Chuck Palahniuk, une réussite de plus au crédit de la littérature américaine actuelle.


(source: site de la fnac)
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MessageSujet: Re: Bret Easton Ellis   Bret Easton Ellis EmptyJeu 24 Aoû - 21:03

bibiseven a écrit:
"American psycho"

Bret Easton Ellis Bretap

Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant golden-boy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d'une Amérique autosatisfaite où l'argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, American Psycho, qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd'hui un best-seller mondial.


Quelques critiques:

Chef d'oeuvre.
10/10
Julien Mahieu, Caen, le 26 juillet 2006

Excellent livre, du plus grand écrivain américain des années 90 avec Paul Auster. La violence insoutenable face à la déliquescence morale de golden boys obsédé par la perfection. Un pur chef d'oeuvre.

IMPRESSIONNANT
10/10
Un internaute, guadeloupe, le 7 juin 2006

ce livre est vraiment terrible!! je pense que c'est le meilleur que j'ai pu lire! on se place vraiment aux cotés du personnage . j'avou que certaines scenes étaient vraiment trop longues mais pour certaines j'ai du m'arreter quelques instants tellement c'était GLOK!!! je le conseil a tout le monde!!! mais âmes sensibles s'abstenir!!!

ennuyeux
5/10
Un internaute, 94370, le 31 mars 2006

Ce livre ne mérite pas plus de 150 pages. Trop de longueurs, les scènes de violence sont bien, même des fois proche de l'insupportable !!! La fin GLOCK !!! comme le livre

deconcertant, jubilatoire
10/10
Hadrien Susini, Chartres, le 16 mars 2006

Patrick Bateman (le psychopathe) est un martyr moderne, c'est un golden boy. Dans cet univers de surface où personne ne se connait vraiment (le sien), tuer est devenu pour lui une nécessité. Ce livre est un chef d'oeuvre. Les scènes de boucherie sont d'une violence extreme, mais cela n'empeche pas le cynisme et l'ecriture de bret easton ellis de vous faire pisser de rire alors que patrick place les restes de la cervelle de connie dans une coupe en crystal copa. Ce livre réveille la bête humaine qui est en nous pour toutes sortes de fantasmes morbides, certains en auront peur et se sentiront agressé, d'autres vont l'accepter et y prendre un certain plaisir.

Un livre punk!
10/10
Un internaute, paris, le 1 février 2006

American psycho, c'est un livre punk, cynique, subversif, politiquement incorrect (et c'est peu dire!) servi par une écriture brute, spontanée et pourtant très incisive. Enfin une réflexion sur le vide existentiel, l'impossible quête du sens et la névrose humaine. Une véritable expérience où la littérature ne se réduit pas à un simple exercice de style. Il s'agit de vivre nos pulsions les plus sauvages et notre condition tragique d'être humain par la médiation de l'écrit. Un roman cathartique, un chef d'oeuvre!

trop violent!!
10/10
Un internaute, bordeaux, le 13 décembre 2005

La violence fait partie de notre quotidien et nous avons tous notre part de violence en nous, cachée, enfouie.. Mais de grâce pourquoi décrire plusieurs crimes de manière hyper réaliste alors qu"un seul aurait suffit, si ce n'est que pour raccrocher le waggon du tout violent désormais redondant dans tous les films du box office. Remarquable écriture, excellentes réflexions sur la société américaine, mais trop de scènes violentes digne d'un Tarantino... sans l'humour.

Le meilleur livre que j'aie lu..
10/10
Un internaute, 95, le 2 décembre 2005

Je ne laisse jamais de commentaire mais là...c'est mon livret de chevet, de vie et se sera celui de mon cercueil..j'ai lu grâce à lui tous les Bret easton ellis, notamment le cultissime Glamorama..Je n'ai que 19 ans mais sais déjà que la grande passion de ma vie sera l'écriture..à sa façon, concise au possible, sèche, si monstrueuse mais tellement humaine..J'ai envie de gerber quand je vois certaines personnes, envie de les tuer, ou parfois de les embrasser...Ce livre est libérateur de pulsions, pulsions que nous avons tous en nous...J'aime ce livre, tout simplement. Car je l'ai lu comme un livre alors que c'était LE livre, croyez-moi sur parole, lisez-le, svp..

Decevant
5/10
Un internaute, MELUN, le 15 octobre 2005

Ce livre est d'un ennui !!!! il fait 530 pages alors que cent auraient suffi, par contre la violence est superbement décrite et peut faire mal au ventre mais quel intérêt ?

âmes sensibles s'abstenir !!!
10/10
Un internaute, IDF, le 6 août 2005

J'avais 15 ans lorsque j'ai subtilisé ce livre à mes parents et tenté de le lire pour la première fois. A 45, je ne peux toujours pas le terminer. L'auteur nous plonge avec brio dans un univers de violence gratuite difficilement supportable tant il semble réaliste. Je recommande à ceux et celles, tentés par cette lecture de la tenir hors de portée de leurs ados peut-être habitués à la fiction mais non aux scènes dépeintes par l'auteur avec un réalisme qui fait froid dans le dos.

Like a Star @ heaven J'ai lu ce livre j'avais 17 ans, je l'ai dévoré du debut à la fin, j'en ai 24 et je m'en souviens si bien, j'ai vu l'adaptation au ciné mais je déconseille, le livre est tellement mieux, grand livre et bon écrivain. j'adore... Twisted Evil
linou la lionne, le 23 Aout 2005
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